La journée du 18 mars aurait normalement due se passer sur l’île de Kapiti, un sanctuaire d’espèces endémiques d’oiseaux (voir post suivant pour plus de détails). Nous sommes arrivés la veille au soir dans la ville de Paraparaumu, d’où les ferries pour Kapiti partent, et avons passé la nuit en camping sauvage en bord de plage, face à l’île de Kapiti. Cependant le mauvais temps nous empêche de faire la traversée. Nous décidons de passer la journée à Wellington à la place, la capitale n’étant qu’à une petite heure de route. Nous reviendrons le lendemain pour réessayer de découvrir la faune de Kapiti !
We should have been on
A Wellington, nous visitons le musée Te Papa qui nous avait été conseillé par plusieurs personnes, et à juste titre. Nous y passons quatre heures et ne parvenons pourtant à visiter que la moitié des salles de deux étages sur quatre, notamment celles consacrées aux singularités de la Nouvelle-Zélande : les espèces endémiques de faune et de flore (notamment une magnifique pieuvre géante qui vit dans les profondeurs des fosses sous-marines, le plus gros exemplaire au monde en exposition dans un musée) ainsi que toute une section interactive sur la tectonique des plaques qui continue à façonner le paysage néo-zélandais (située sur le cercle de feu du Pacifique, la Nouvelle-Zélande est sujette à de nombreux tremblements de terre et éruptions volcaniques).
We spend our day in
Pour compléter cette journée culturelle, nous retournons à une activité plus abordable et profitons du cinéma près du musée pour aller voir Green Zone, un très bon film sur les manipulations politiques et médiatiques ayant conduit à l’invasion américaine de l’Irak en 2003. Nous finissons enfin par une rapide visite dans Cuba Street, la rue « alternative » de la capitale – tout cela ressemble finalement à la High Street d’une ville de province anglaise, à ceci-près qu’elle abrite à côté des Take Away une petite merveille de restaurants : Matterhorn, qui nous avait également été recommandé.
We carry on our visit of Wellington on a cultural note, slightly mainstream though and take advantage on the cinema next door to the museum to watch Green Zone, a quite neat movie on the political and media manipulations that led to the US invading Irak in 2003. We finish our day by paying a visit to the “alternative” street of the capital: